• C'est un scénario à choix dont vos choix peuvent changer l'histoire. C'est long à faire et difficile sachant que je ne suis qu'une amateur. Vous pourrez me signalez les fautes d'orthographe. De plus c'est long à faire alors s'il vous plait soyez patient. 

    La fin du chapitre 1 ne change pas en fonction de vos choix mais l'histoire peut plus ou moins duré longtemps selon vos choix.

    Chapitre 1


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  •  

    Le soleil illuminait la pièce à travers la fenêtre de ses milliers de rayon ensoleillé. C'était déjà le matin et notre jeune héros venait de se réveiller. Du long de ses 1m78, sa mèche brune tombait sur son front. Ses paupières se levaient doucement laissant place à ses yeux marronné. Il s'était réveillé par le son agaçant de son alarme.

    Image de anime, attack on titan, and snk

    *Faites un choix* 

    - éteindre l'alarme et se rendormir -

    - éteindre l'alarme et se lever pour se préparer -


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  • Cela fait maintenant deux semaines depuis l'incident d'Asuka. A vrai dire, celle-ci n'était pas encore revenu en cour. Même si Yuki et moi, nous nous inquiétâmes pour elle, nous savons toutes les deux qu'il fallait mieux la laisser tranquille pour le moment. Après tout ce n'est pas le genre de chose qui arrive tout les jours. Quant à moi, je n'avais toujours pas dit à Asuka que j'allais maintenant vivre seule. Ce n'était pas en tout cas le bon moment. Quand tout sera calmée, je lui dirais mais pour l'instant, je vais juste déménager. 

    Mes parents vont bientôt partir en me laissant seule. Je n'avais rien préparé du tout sachant que aujourd'hui je devais emballé toutes mes affaires afin d’emménager à mon nouvel appartement. Ma mère toujours inquiète de me laisser seule n'arrêtais sans cesse de me demander si j'étais sûr de vouloir vivre seule. Quant à mon père, il était plutôt préoccupé par l'argent. Peu à peu, je commençais à aider ma mère à faire des tâches ménagères et sans m'en rendre compte, c'était devenu une habitude. D'ailleurs, Yuki allait venir m'aider. Je ne savais pas par quoi commencer. Tout est devenu si... Dur, je n'avais encore rien préparer à part faire les tâches ménagères et encore. Je n'avais pas encore daigner à chercher un emploi à temps partiel. J'étais bien stressée par tout ce qui arrivé si vite que je n'avais pas une seconde à moi. Après un long moment passé seule dans ma chambre à ne rien faire et à réfléchir, je me mis enfin à ranger tout mon bazar. Je pris ce que ma mère m'avait donné comme carton et commença à ranger les livres de mon étagère un à un. Je sentis comme un peu de nostalgie à chaque livre que je mettais dans le carton. Chaque livre était propre à une histoire et je me souvenais de chaque. Après avoir rangé quelques livres assez lentement -car je m'arrêtais sur chaque livre- il y eu un livre assez poussiéreux dont sa vue ne m'étais pas familière. Je pris le livre, souffla dessus afin d'enlever la poussière puis regarda le titre. C'était un conte que mon père me racontait chaque soir avant de dormir quand j'étais plus jeune. Il me fit sourire puis je feuilleta quelques pages pour remarquer qu'au milieu du livre il y avait une fleur aplatie. C'était sûrement une fleur que j'avais ramassé quand j'étais plus petite et que je l'avais mis là par on ne sait quel raison. Puis je ferma le livre tout en laissant la fleur et le posa dans le carton. Après une bonne demi-heure, j'avais emballé tout les livres mon étagère. J'étais triste de voir mon étagère si vide. Peu de temps après, Yuki arriva. Dès son arrivée qui m'avait donné un peu de motivation, nous nous étions mis à ranger plus rapidement. 

    Près de quelques heures plus tard, Yuki et moi avions finis d'emballer toutes mes affaires. Ma chambre était vide et je sentais comme une piqûre dans mon cœur. Je ne voulais pas quitter cette chambre qui était restée avec moi depuis ma plus tendre enfance. Nous amenâmes mes cartons dans le camion de déménagement. Je soupirai après chaque aller-retour. Yuki était inquiète mais ne dit rien. Après le départ de mon amie, je me posa sur mon lit une dernière fois car cette nuit-là était la dernière. Je m'étais affalée sur le lit sans même prendre le temps de me changer. J'avais passé l'après-midi à tout ranger et cela m'avait affreusement fatigué. De plus, mes parents ne m'avaient pas aidé car ils travaillaient pour "la dernière fois". Enfin, ils dirent ça mais je ne pensais pas que c'était la dernière fois. D'ailleurs ils n'étaient toujours pas rentré alors la maison était vide dans le noir le plus complet. Je me sentis très seule, pourtant ce n'était pas la première fois. J'avais le coeur serré. Puis des larmes coulèrent sur mes joues rouges. J'étais honnêtement très triste et seule. J'avais peur, je ne voulais pas quitter le foyer familial. Je voulais continuer ma vie ici pour toujours. Mais il fallait bien à un moment ou un autre partir.Même si je savais ça, j'étais si triste et je pleurais toutes les larmes de mon corps comme si je libérais tout mes sentiments enfouie depuis l'annonce. 

    Après avoir pleuré un long moment hier soir, je me leva de mon lit. Je me changea et pris mon petit déjeuner seule car mes parents dormaient encore. Ils étaient rentrés tard hier soir je ne voulais pas les déranger. Je me regarda dans le miroir et mes yeux était gonflés. De plus aujourd'hui était le jour du festival que ma classe et moi avions mis du temps à préparer je ne voulais en aucun cas le rater. Oh, et puis tant pis. Ce n'est pas grave. Je me préparai pour aller au lycée sans aucun bruit. 

    Arrivé devant le lycée, je pris une grande inspiration puis avança d'un pas décidé. Sur la route j'avais croisé Yuki qui s'était levée bien tôt. C'était inhabituel mais peu importe je me fichais pas mal de le savoir. Je pensais sûrement qu'aujourd'hui était un jour spécial alors je ne me suis pas trop posé de question. En arrivant dans la salle de classe, il y avait peu de monde qui était là. Mais, malgré ça, tout le monde finissait les derniers préparatifs. Yuki qui était de bonne humeur se mit vite au travail et je fis de même. Aimais-t-elle le festival tant que ça? Je n'avais aucune idée. J'étais fatiguée à cause de ce qui s'était passé hier soir mais j'essayais de ne pas le faire apercevoir. Une heure plus tard, quand toutes la classe était enfin là, notre délégué de classe nous fit comprendre qu'il nous fallait absolument arrivé premier dans le classement si nous arrivions premier nous pourrions avoir un voyage scolaire je ne sais plus où, j'avais oublié. Notre thème était café maid afin d'attirer les filles et les garçons sachant que la plupart des filles et des garçons de notre classes était d'accord pour ça. Je n'étais à vrai dire pas d'accord car l'astuce pour les attirer était d'utiliser les plus belles filles et les plus beau garçons de notre classe. Au préalable, nous avions voté pour les filles les plus mignonnes et les garçons les plus mignons. Et pour moi, je fus choisis par fait un la majorité des personnes. Je ne pensais pas avoir un quelconque charme. Je me suis changé sans un mot et commença alors le service auprès de quelques clients qui était arrivée assez tôt après l'ouverture de notre café. 

    Alors que chaque camarade de ma classe travaillait tranquillement à leur poste, des hommes -plus ou moins des lycéens d'un autre établissement- sont arrivé en mettant le désordre dans tout notre travail. Sois disant, ils disaient que ce que l'on servait était mauvais et qu'ils souhaitaient un remboursement. Et malheureusement pour nous, la plupart des garçons étaient sortis faire de la publicité pour nous. Ils ne restaient seulement que quelques garçons qui ne faisaient surement pas le poids contre plusieurs d'entre eux. Le client commençait à critiquer tout le café et les clients commencèrent à chuchoter entre eux et à douter sur nos aliments. J'essayai de contrôler ma colère face aux insultes envoyés par les clients et commença doucement à m'approcher d'eux. Tandis qu'ils criaient sur une de nos serveuse qui pleurait et avait peur. En avançant je me suis retourné vers mes camarades qui n'osaient pas intervenir.

    "Excusez-moi, mais, nous sommes vraiment navré de ce désagrément. Malgré le fait que nos produits ne sont pas spécialement bon, le fait que vous provoquez un tel vacarme en dérangeant les autres clients est inaccessible. Je vous prie donc de partir." Dis-je calmement en m'inclinant par politesse.

    Ils se mirent à sourire d'un air niais, ce qui ne me fit ni froid ni chaud. 

    "Tu crois sérieusement qu'on va partir comme ça? En te regardant bien tu es mignonne. Si tu... Te déshabille devant nous on partira sans rien faire et sans rien dire. Répondis un des ses lycéens.

    - Je suis vraiment navré mais je ne peux pas faire cela. dis-je.

    A vrai dire, j'avais peur de ce qui allait se passer. J'essayais de calmer mes tremblements mais rien n'y faisait. Tous les regards étaient braqués sur nous et arriva un calme silence dans la salle. On entendait seulement les bruits des couloirs et de l'extérieur. Au plus profond de moi, je voulais m'enfuir en courant, j'appelais de l'aide. Mais, personne ne bougeait. Peut être allais-je faire comme à la boutique la dernière fois? J'avais bien réussit mon coup non? J'essayais de me résonner sans y arriver. Rien ne venait à moi. J'avais cet impression que les secondes qui passaient duré une éternité. Soudain, une idée me venu: je devais gagner du temps afin que les hommes de notre classe arrivèrent. Je pris mon courage à deux mains et dit:

    "Je ne peux néanmoins pas réaliser votre souhait mais je peux réaliser un autre de vos souhaits."

    Ils se mirent à rire entre eux. 

    " Désolé mais j'ai pas d'autre souhait!" Dis un des hommes présent devant moi.

    Je n'avais plus aucune idée ni même de temps à perdre. J'espérais et priais que les garçons finissent enfin par arriver. Tout d'un coup je sentis un des hommes levait sa main. J'avais compris dès qu'il leva sa main qu'il allait me frapper. Je pense qu'il avait compris que j'essayais de perdre du temps. Je fermai les yeux par réflexe et peur. Puis, un bruit sourd se fit entendre dans toute la pièce. Il m'avait frappé, ma joue était devenu toute rouge, il n'y était pas allé de main morte en plus. Encore sous le choc, je ne bougeais pas d'un centimètre. Tout le monde se tut alors par peur de se faire frapper comme moi. Les larmes de douleurs commençait à monter, je ne pouvais pas les retenir alors je me suis mis à pleurer. 

    "Alors la ptite dame? Tu te grouilles de nous rembourser si t'a pas envie de t'en prendre une autre?!" 

    Je compris soudainement que finalement je n'étais pas du genre courageuse et encore moins du genre à répliquer. C'était bête de ma part d'essayer de les arrêter. Je ne pouvais pas arrêter de penser que ce que j'avais fait était idiot et inutile. La porte claqua et les garçons essouflés, venaient d'arriver. En voyant Makoto et Masao -qui était les premier arrivé-, épuisés à force de courir, me voir comme ça était humiliant. Soudain, Makoto, voyant ma joue rouge, s'énerva et donna un coup de poing à l'homme qui était devant moi. Il tomba par terre, sa lèvre en sang. 

    "Batard! Je vais te tuer ici! S'écria l'homme à terre.

    - Fais le pour voir puis tu verras ce qui va se passer après. "dit Makoto d'un air sérieux et intimidant.

    C'état bien la première fois que je trouvais Makoto si sérieux. J'étais tellement heureuse qu'il soit arrivé. Les hommes qui avaient mis la pagaille partir sans faire d'histoire après l'arrivé de la plupart des hommes de la classe. Je m'écroula par terre juste après leur sortie en pleurant toute les larmes de mon corps.

    " Pourquoi  tu es pas venu plus tôt! Je me suis même fait frappé! J'ai tellement mal! J'ai fait genre mais en vrai j'avais tellement peur!! Waaahhhh! M'écria-je en pleurant toute les larmes de mon corps avec mon nez qui coulait.

    Tout le monde qui me vit dans cet état se sentait coupable de n'avoir rien fait du tout. Makoto, toujours énervé et inquiet en même temps me porta et parti vers l'infirmerie sans un mot. Sur la route, je pleurais toujours même si c'était humiliant pour moi de pleurer comme un gros bébé devant tant de monde. 

    " Je suis désolé..."Chuchota Makoto.

    Je n'avais, à cause de mes pleurs, malheureusement pas entendu ce qu'il avait dit. Et ça, je regrette.

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    J'ai fait un grosse erreur de frappe quelque part et je ne retrouve pas du tout où il se trouve si vous le trouvez (ou en trouvez d'autres) merci de le signaler. 


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  • Résultats de recherche d'images pour « chain chronicle hero »

    Nom: Tsukuzo

    Prénom: Hiro

    Age: 17 ans

    Caractère: De nature gentil, il aime aider. Il va toujours aider les gens dans le besoin et n'hésite pas prendre des risques pour son entourage. Il est courageux et insouciant. 

    Autre: Héros

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    Nom: Inconnu

    Prénom: Chibana

    Age: 17 ans

    Caractère: Elle est gentille et aime prendre soin de son entourage. Assez timide, elle est parfois têtu. Akiko croit fermement en dieu. C'est une personne de confiance qui est réservée.

    Autre: Héros

    Image associée

    Nom: Nanashima

    Prénom: Akiko

    Age: 21 ans

    Caractère: Il est calme et froid. Il aime dormir. Il ne va pas aider les personnes gratuitement. 

    Autre: Héros / passé difficile / race détesté

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    Nom: Inconnu

    Prénom: Inconnu / Surnom: Ruru

    Age: 16 ans

    Caractère: Douce et timide de nature, elle aime la nourriture et les choses mignons. De nature curieuse, elle va chercher les problèmes.

    Autre: Héros ? 

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    Nom: Sneitardoum

    Prénom: Fulu

    Age: 1512 ans / je suis en pleine crise d'ado alors laissez- moi ~

    Caractère: Elle est arrogante et se pense supérieur -ce qui est le cas en terme de connaissance-. On dit qu'elle accompagnait le héros pendant sa quête il y a de cela 100 ans. 

    Autre: Fée / A beaucoup de connaissance / Race très très rare

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    Nom: Akranasia

    Prénom: Delord Oloutave Masar / Surnom: Leigna

    Age: 29 ans

    Caractère: Gentille, s'énerve très vite et calme.

    Autre: Prêtresse de la famille royale / Très respectée 

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    Nom: Inconnu

    Prénom: Flaris

    Age: 19 ans

    Caractère: Très vite énervé, froide, n'arrête pas de crier, stricte.

    Autre: Elfe / Race respecté / Garde du corps respecté 

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    Nom: Aggrar

    Prénom: Minalia

    Age: 33 ans

    Caractère: Dirigeante, gentille, ne croit pas en dieu, réaliste.

    Autre: Reine du continent d'Aknésia 

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    Nom: Inconnu

    Prénom: Inconnu / Surnom: La grande chamane

    Age: Inconnu

    Caractère: Mystérieuse

    Autre: Peut lire l'avenir / rumeur comme quoi elle était la femme du héros.

     


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  • Chapitre 3 : "La nouvelle moi"

    Aruka nous raconta alors ce qu'il s'était passé et comment avait-elle pu avoir de tels bleus :

    "C'était juste après que Yuki m'ait laissé. Après qu'elle soit partie... Des... Des... Les étudiants qui nous avaient menacées... Ils sont revenu. Ils m'ont alors kidnappé... J'étais paralysée et je ne savais pas quoi faire... J'avais peur, très peur."

    Aruka se remit alors à trembler et à pleurer en racontant cette scène. Yuki demanda alors ce qu'il s'était passé ensuite 

    " Ils... Ils m'ont attaché, et... Frapper... Et...Vio..."

    Elle se mit à pleurer à chaudes larmes, son corps était rempli de blessure. Nous ne savions pas quoi faire face à cette situation. Mais Yuki qui avait l'air de mieux la comprendre que moi n'hésita pas à lui donner des conseils :

    " Aruka, si tu veux, on peut aller à la police et tout dire, on connaît leur visage et tu es rempli de blessure, si avec ça il n'y a pas assez de preuve !"

    Notre amie ne dit rien, elle avait les yeux vides comme si tout être humaine en elle était mort. Je ne pouvais supporter le fait qu'on la blesse ainsi. Je pris alors son bras et la levai. Je l'obligeai à se préparer puis à aller au commissariat afin de dénoncer ses monstres. Pendant que Aruka se préparait, nous discutâmes de la situation avec sa mère qui, était sous le choc et ne savait pas quoi dire. Yuki lui expliqua que nous devions aller à la police afin d'enfermer ce genre d'ordure.

    Arrivée, nous descendîmes toutes de la voiture et dirigeâmes vers la porte d'entrée. Il y avait une longue queue alors nous décidâmes d'attendre dans le café en face du commissariat. Nous y allons et nous nous sommes mis à une table à l'extérieur afin de voir le commissariat de loin. Il y avait un silence pesant jusqu'à que la serveuse arrive pour demander nos commandes. J'avais juste pris une latte avec Yuki, la mère d'Aruka avait pris un café noir et Aruka qui n'était pas au top de sa forme ne commandais rien. Nous attendions tout impatientes de ce qui allait se passer. Mais j'avais peur, et si finalement ce n'était pas aussi simple ? Aruka ne va peut-être jamais se remettre de cet événement. Soyons déjà rassuré qu'elle ne se soit pas encore suicidée. Un doute m'envahit pendant plusieurs minutes. Pourquoi tout ça se passerait ainsi ? Dans les pires situations, j'imaginais toujours des choses impossibles. Soudain, pendant que j'étais perdue dans mes pensées, à imaginer des situations de plus en plus pires, Yuki vint interrompre le silence qui s'était installé.

    " Ne t'inquiète pas Aruka, tout va-vite s'arranger."

    Yuki essayait de son mieux d'aider Aruka, mais celle-ci l'ignora presque. Aruka lui fit un regard comme si elle allait encore s'apprêter à pleurer, mais se retenait. Elle ne voulait sûrement pas faire toute une scène avec tant de monde autour. Puis, revint le long silence jusqu'à que l'on remarque qu'il n'y avait plus de queues et décida d'y aller. Arrivée devant, on s'apprêtait à entrer, mais un problème s'interposa. Aruka qui n'avait ne serait-ce qu'ouvert la bouche une seule fois de toute la soirée dit :

    " Je ne veux pas ! J'ai bien trop peur ! Je... Je... Et s'ils revenaient ?!"

    Notre amie commença à trembler en disant toutes ses paroles. On n'avait pas sûrement pensé à elle. On l'a juste obligé à venir sans lui demander son avis. Mais, c'est normal non ? On connaît les criminels alors pourquoi ne pas les dénoncer ? Sa mère qui était près d'elle, pris ses épaules et les tourna vers elle en les maintenant fortement :

    " Ma chérie ! Si... Si tu ne veux pas les dénoncer que vas-tu faire ? Je... Je suis inquiète de ce qui se passerait ! Tu ne m'as rien dit !"

    Sur ses mots, elle se mit à pleurer. Les passants s'étaient retournés par curiosité. Cela mettait mal à l'aise tout le monde, alors nous décidâmes de retourner dans un lieu calme ainsi nous repartîmes dans le café. Dedans, comme tout à l'heure, il y eut un silence pesant. Personne ne savait quoi faire. Même pas Yuki qui a l'habitude de trouver de bonnes solutions à nos problèmes. Aruka était redevenue comme quand nous l'avons trouvé chez elle. Quant à sa mère, elle n'arrêtait pas de pleurer toutes les larmes de son corps. Yuki essayait de calmer la mère d'Aruka pendant que moi, je regardais. Je ne fais que regarder, comme d'habitude... Je n'ai jamais été doué pour soutenir les autres ou même les aider. Soudain, je sentis une odeur familière : l'odeur de la cigarette. Bon, vous allez dire que c'est rien, mais quand je me suis retournée, je vis les étudiants. J'étais choquée et j'avais peur de ce qui allait se passer. J'appelai Yuki avec mon regard et elle le remarqua. Yuki fut tout aussi surprise et choquée que moi. On pouvait sentir de la colère et de la fureur. Mais elle essaya de se contenir pour le bien d'Aruka. Malheureusement, elle les vit et pâlit à leur vue. Elle commença alors à trembler de partout, à chuchoter n'importe quoi et à pleurer. Sa mère arrêta de pleurer et se leva rapidement pour aller voir sa fille.

    "Que se passe-t-il ? Ma chérie ?!" Demanda sa mère

    Le ton de la mère d'Aruka attira l'attention et ses étudiants nous vu. Ils commencèrent à se chuchoter des mots. Yuki ne pouvait plus se contenir et se leva pour aller frapper ses monstres qui avaient ricanait. Moi-même, je m'étais jamais senti aussi en colère contre quelqu'un, je voulais les tuer. Alors, je suivis Yuki. Je criai ensuite sur eux :

    " Bande de violeur ! Co-Comment avez-vous pu violer et battre Aruka?!"

    Sur ses mots, tous les regards nous regardèrent et commencèrent à se chuchoter entre eux :

    "Quoi? Pardon ? Violeur ? Les gars, on peut m'expliquer ce qu'il se passe ici ? Non seulement, tu me frappes, mais en plus, tu nous insultes sans preuve ? Devrait-on aller à la police ? C'est juste en face !"

    Ils se mirent à rigoler entre eux en plaisantant. Sur un ton ironique, ils disaient avoir violé et battue une pauvre fille. Yuki commença à pleurer ainsi que moi-même. Je me retournai et vis qu'Aruka était pâle et sous le choc. Yuki cria ensuite :

    " Tu crois que la police va plutôt te croire que nous ? Regarde-toi ! Tu fais pitié ! Tu crois que c'est marrant !"

    Sur ses mots, un des étudiants se mit en colère et frappa Yuki. Là, il n'y avait personne qui pouvait nous aider.

    " Et toi ? Tu crois que tu me fais peur fillette ? Pfff! Retourne jouer à la poupée ! N'est-ce pas les gars ?" Dit-il en riant

    " Sale petit fils de p***! Va te faire en***** par ta mère !" Dit Yuki énervé.

    Yuki n'avait pas l'air d'avoir peur pourtant, elle tremblait et transpirait. Elle savait que tout ça pouvait dégénérer, mais continua. Les insultes continuèrent entre les deux personnes. Moi, j'étais choquée, j'avais peur, je tremblais. Je voulais juste que tout ça se finisse vite. J'avais les larmes aux yeux. Ils n’arrêtèrent pas de tomber sur mes joues qui étaient devenus toute rouge. Je regardai autour de moi. Il y avait une foule qui s'était rassemblée par curiosité et personne n'avait vraiment l'air de comprendre la situation, mais tout ce qu'ils faisaient été de filmer. Je réfléchissais à quoi dire. Soudain, pendant que Yuki et ses étudiants se battaient presque, ses étudiants firent tomber leur carte. Je les ramassai en vitesse et les lus. Je fus surprise, mais j'avais trouvé un point faible et une porte de sortie :

    " Monsieur Tsukishima Kei... Joli nom !"

    Je tenais sa carte entre mes doigts. Les étudiants me regardèrent comme si savoir son nom allait lui faire perdre la face. Ils rirent haut et fort. Je me fichais pas mal de ce qui m'allait arriver tant que je pouvais sortir mes amies de cette situation :

    " Dit moi, n'ai-je pas entendu ce nom quelque part avant ? Dans les journaux ? À la télé ? "

    Soudain, celui à qui appartenait la carte, son visage s'assombrit :

    "Que veux-tu dire par là ?"

    " Ah ! Je m'en rappelle ! Tsukishima ce n'est pas le nom de cette entreprise de jeux vidéo ? Ah...Si!"

    " Pfff! Comme si savoir ma richesse allait t'aider ! Quoi ? Maintenant que tu sais que je suis riche, tu vas t'agenouiller devant moi et me demander pardon ?" Dit-il

    " Mais... Cela ne va-t-il pas faire de la mauvaise publicité pour votre nouveau jeu ? Je vois déjà les titres dans les journaux ! Le seul fils de la célèbre Tsukishima dans une affaire de viol ! Ah... Ton père va être très mécontent. Vos ventes vont baisser et...Boum! Faillite !"

    Son visage devint pâle d'un coup et se tut sans rien dire. Et je dis tout ça, dans un sourire. Je fis en sorte de bien jouer mon rôle, celui de celle qui va gagner.

    " Ensuite, Manashima Bogī, encore un joli prénom... Qui veut, latéralement dire, crotte de nez ! Vous croyez ça ?! Ah ah ah ah ! Son nom signifie crotte de nez ! Ah là là là... Tes parents t'ont sûrement gâté !" Dis-je en rigolant.

    " LA FERME!!!!"

    " A qui maintenant ? À toi ? Tiens tiens... Ton nom me dit rien... Ah là là..." Dis-je.

    "Pfff! Je ne suis pas aussi faiblard qu'eux ! J'ai rien à me reprocher ! Tu sais comment on me nomme dans le coin ? Le CHIEN FOU! Pourquoi ? Car je mords les gens qui sont sur ma route jusqu'à qu'ils meurent !"

    "Ah! Ce nom me dit un truc !"

    Je regarde autour de moi comme pour chercher quelque chose. Je vis un chihuahua. Je m'avançai vers lui et le pris tout en demandant poliment à sa propriétaire. Je le pris dans mes bras et l'emmenai vers le dernier étudiant. Il recula tout en criant de ne pas approcher ce monstre de lui.

    " Tu as peur des chiens ? Pourtant, tu te nommes le chien fou... Ce n'est pas un peu bizarre ça ? Tu fais encore plus pitié d'eux ! Venez les gars ! Allons à la police ! J'ai rien me reprocher, je vous rappelle qu'on est les victimes. Si tu n'as pas vu le nombre de témoins franchement va t'acheter des lunettes quoi ! Écoutez-moi tout le monde ! Ses hommes ici présents ont battu puis violer mon amie de 17 ans ! Et de plus, ils viennent de frapper assez violemment mon autre amie qui n'essayait que de défendre son amie. Et que se passe-t-il ? Ils se font passer pour les victimes ! "

    Je me retournai vers Aruka qui avait repris un peu de couleur. Il y eut des chuchotements. Toutes mes connaissances avaient été surprises par mon comportement et ne savaient pas quoi dire. Je pris le bras d'Aruka et de Yuki et dit :

    " Venez les filles, on va au commissariat tout de suite. Allons porter plainte pour viol et violence sur femme. Vous aussi, vous venez !"

    Ils ne bougèrent pas d'un poil. On entendit des hommes qui criaient sur eux comme quoi ils devaient se rendre. De plus en plus de personnes nous soutenait. Ils étaient obligés de se rendre maintenant. Arrivée devant le commissariat, nous entrâmes et disons toute la vérité sur ce qui s'étaient passé. Les étudiants avouèrent leurs actes ainsi tout s'était déroulé plus facilement. Il ne fallait plus qu'attendre d'aller au tribunal pour voir le verdict même si on avait 98,99 % de chance de gagner, c'était la loi. Après être sortie du commissariat, ils s'excusèrent à genoux devant Aruka de ce qu'ils avaient fait, qu'ils le regrettèrent et ne le feraient plus jamais. Aruka ne leur adressa qu'un regard puis nous partîmes. C'était une longue soirée qui s'était déroulée. C'était aussi la première fois que j'avais fait quelque chose seule. Je me suis sentie fière de moi. Je pense qu'une nouvelle moi est née, une nouvelle moi qui suis autonome et ai une grande confiance en soi. La mère d'Aruka était plus qu'énervée, mais aussi soulagée, Yuki, elle devait aller à l'hôpital pour soigner sa blessure au visage et Aruka ne voulait rien d'autre que se reposer. Je pensais qu'après tout ce problème qui s’enchaînait de suite, dieu avait assez jouer avec nous, mais malheureusement, je mettais tromper et tout ça n'était que le début d'une longue suite de problème.


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